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 Je vole à la barbe des gardes, ça barde quand je chaparde... [PV Keraël]

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Anàrion
Gentleman Cambrioleur
Anàrion



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MessageSujet: Je vole à la barbe des gardes, ça barde quand je chaparde... [PV Keraël]   Je vole à la barbe des gardes, ça barde quand je chaparde... [PV Keraël] Icon_minitimeMar 16 Juin - 11:17

Anàrion, fils de noble de son état et officieusement l’un des meilleurs voleurs de Sanctis, était de sortie aujourd’hui, comme presque tous les jours d’ailleurs. Le garçon avait un sourire accroché à ses lèvres, paraissant aussi heureux qu’un chat qui aurait eu du lait au petit-déjeuner et pour cause ! Sa prise de la veille avait été une réussite totale, du début jusqu’à la fin et cet ensemble de vaisselle qu’il avait réussi à subtiliser dans la cuisine d’une riche demeure de la ville valait pas mal d’argent, ce qu’avait énormément apprécié son chef. Cependant, comme à son habitude, Anàrion ne touche qu’une infime part de ce qui devait normalement lui revenir, laissant le reste à ceux qui en avaient réellement besoin. Le fils Narmacil ne vivait certes pas dans l’opulence, mais il vivait très bien et voler ne représentait pour lui, qu’une sorte de jeu et non pas un moyen de survie comme tant d’autres.
Celui-ci était tellement de bonne humeur qu’il n’avait même pas besoin de se forcer à être sociable, souriant et de bonne compagnie auprès de filles de la noblesse, envoyées par leur père pour tenter de taper dans l’œil du garçon, qui ne cessaient de le suivre. Malheureusement pour ces demoiselles, le jeu de l’amour et de la séduction était totalement inconnu et jugé inintéressant par Anàrion qui demeurait inaccessible. A ses yeux, seul importait le vol et tout les risques que cela comportaient. Et déjà, même s’il ne semblait que se promener dans les rues de Sanctis, passant de magasins en magasins, le fils voleur d’un noble général guettait la moindre occasion d’exercer son art avec brio, il allait de soi.

Il ne fallut pas longtemps à sa victime pour faire son apparition devant le regard d’Anàrion. C’était une Ombre, bien évidemment à cela que celui-ci différait de la plupart d’entre eux par une teinte de cheveux assez particulière, il devait bien l’avouer. Des cheveux d’une couleur gris clair n’étaient pas ce qu’on rencontrait tous les jours et le jeune homme attirait inévitablement l’attention sur lui lorsqu’il déambulait dans les rues de la ville. Mais Anàrion n’avait rien à dire car lui aussi avait une particularité physique qui le distinguait des autres Ombres : ses yeux dorés, caractéristiques de la famille Narmacil, lui a valu bien des regards admiratifs et des compliments de la part de passants et soupirantes qui le reconnaissaient dans la rue. Revenons à ce garçon… Mis à part ce détail remarquable, la probable future victime d’Anàrion paraissait jeune, très jeune même, presqu’autant que le noble voire plus encore. Sa juvénilité était renforcée par l’expression de son visage qui n’arborait pas encore cette expression froide et hautaine, commune à pratiquement toutes Ombres adultes comme si ces dernières étaient certaines d’être le summum de la Création.
Aux yeux d’Anàrion, la façon de marcher d’un air nonchalant et inattentif du garçon était une invitation à aller lui dérober tout ce qu’il avait auprès de lui mais encore fallait-il que ce dernier possède un quelconque objet de valeur méritant l’effort d’être subtiliser sous les yeux de son futur ex-propriétaire. Un examen plus attentif sans pour autant paraître suspect de sa victime lui fit remarquer la présence de deux clochettes posées sur les cheveux de l’Ombre, semblant répondre aux tintements de la propre clochette d’Anàrion. Le voleur rejeta rapidement cette idée, supposant que les autorités peu intelligentes et encore moins compétentes iraient faire un rapprochement entre les clochettes volées et celle qu’il arbore depuis toujours autour du cou. Certes, il s’en tirerait sans rien mais c’était aller chercher des complications alors qu’il pouvait les éviter en trouvant un autre objet à dérober.
Le seul autre objet qui présentait un intérêt à être volé était l’instrument de musique avec lequel l’Ombre se promenait. La flûte, puisqu’il s’agissait d’une flûte, était accrochée à la ceinture du garçon et reflétait joyeusement les rayons de lumière qui se posaient sur elle.

Anàrion • Bien, maintenant que mon choix est fait…

Anàrion fila dans une ruelle sombre et à l’abri du regard pour se préparer. En tant que fils d’une famille noble, il ne pouvait absolument pas être aperçu en train de voler n’importe quoi à n’importe qui. Aussi, le garçon se recouvrit d’une cape à l’aspect sale et miteuse, dissimula le tatouage qui était l’emblème de sa famille et releva la capuche afin d’avoir le visage totalement recouvert. En plus de cela, Anàrion noua un foulard autour de son cou, afin d’empêcher sa cloche de tinter lorsqu’il se déplacerait et attrapa un bâton en bois qui trainait dans le coin. Une fois satisfait et quasiment certain de ne pas être reconnu en public dans un tel accoutrement, le fils de noble sortit de la ruelle. Un rapide coup d’œil lui permit de repérer sa victime mais avant de se rapprocher d’elle, Anàrion se plaça devant un groupe de demoiselles et tenta d’ouvrir la conversation en vain. Son déguisement était donc parfait car il y avait quelques instants, ces jeunes filles se seraient jetées aux pieds d’Anàrion si celui-ci le lui avait demandé.

* Parfait, parfait… A nous deux, à présent *

Le voleur s’approcha discrètement de sa victime, sans pour autant attirer l’attention sur lui. La rue était peu bondée mais il demeurait néanmoins quelques Ombres qui traversaient la rue pour se rendre à un endroit ça et là de la ville.
En son for intérieur, Anàrion espérait que sa victime tenterait de le pourchasser à travers les rues de la ville. Cela donnerait du piment à son vol et ne rendre que la victoire meilleure. Il serait fort déçu s’il s’agissait du genre de personne à ne pas remarquer le vol de son bien quelques instants après que le crime ait été commis, ou alors le genre de personne à remarque son absence qu’au bout de plusieurs jours…

Finalement, Anàrion se retrouve à quelques pas de sa victime et le garçon mit son plan en marche. Il commença à se servir de son bâton de la même manière qu’une canne d’aveugle et sa démarche paraissait être celle d’un homme des rues et non plus celle d’un fils de la noblesse. Sa capuche lui cachait totalement le visage et de ce fait, il put jouer les aveugles tout en gardant les yeux ouverts et tout cela, sans que les passants ne le voient. Anàrion percuta assez brutalement sa victime et avec une voix plaintive, s’excusa auprès d’elle :

Anàrion • Veuillez me pardonner, messire. La lumière a quitté mes yeux il y a peu et je ne me suis pas encore habitué à cet état…

Le garçon poursuivit ensuite son chemin de la même manière, jusqu’à arriver au détour d’une autre ruelle sombre. Il pénétra dans celle-ci, releva sa capuche et prit une grande inspiration. Un immense sourire, plus grand encore que celui qu’il abordait en début de journée, se dessina sur ses lèvres alors que sa main tira de l’intérieur de sa cape, qui lui recouvrait tout le corps, la fameuse flûte qu’il avait subtilisé à son ancien propriétaire au moment du choc.

Anàrion • Héhéhé, trop facile…

A cet instant, le garçon entendit un cri dans la rue principale et il sut que son vol venait d’être remarqué. Après avoir poussé un dernier ricanement, Anàrion se mit à courir dans les ruelles de la ville, en s’arrêtant de temps en temps afin de voir s’il était poursuivi. Finalement, Anàrion finit sa course dans un petit espace de verdure situé au fin fond des ruelles. Peu de personnes connaissaient cet endroit et le garçon était pratiquement certain que sa victime serait incapable de le retrouver.
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Keraël
Musicien
Keraël



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MessageSujet: Re: Je vole à la barbe des gardes, ça barde quand je chaparde... [PV Keraël]   Je vole à la barbe des gardes, ça barde quand je chaparde... [PV Keraël] Icon_minitimeMer 17 Juin - 14:08

Le soleil trônait haut dans le ciel ce jour là, et pas un nuage ne montrait le bout de son nez à l’horizon. C’est par ce temps magnifique que Keraël déambulait dans les ruelles de Sanctis. Les rayons de soleil lui illuminaient le visage, bien que celui-ci semblait soucieux. En effet, le jeune prodige de la musique n’avait plus que quelques pièces d’or et son ventre était bel et bien vide. De plus, il n’avait pas assez d’argent pour acquérir un loyer, et son imbécile de père se moquait bien de savoir ce qu’il pouvait lui arriver. Ce n’était vraiment pas la période la plus prospère qu’avait connu Keraël.
Descendant d’une lignée noble et aisée, il semblait étrange que Keraël puisse être à court d’argent. Mais tout cela était facilement explicable lorsque l’on savait que son père l’avait exilé de son chez lui. Le jeune ombre ne comprenait toujours pas les comportements bizarres de son père, et à force de réfléchir à la question, il avait compris que son père n’était rien d’autre qu’un tordu. Et sa mère dans tout ça ? Elle lui manquait, sa présence chaleureuse au réveil était un grand vide dans la vie de l’ombre. Mais, après tout, la famille n’est pas ce qu’il y a de plus important dans la vie, n’est-ce pas ? C’est ce que s’est toujours forcé à croire Keraël.
Mais revenons en au sujet. Le jeune ombre devait absolument se remettre à travailler fréquemment si il ne voulait pas mourir de faim. Pour le logement, le jeune ombre arrivait toujours à se débrouiller finement. Par exemple, la veille, contre une petite partie de jambe en l’air, une dame en manque de son défunt mari lui avait offert le toit pour la nuit. Mais passons sur les détails.
Keraël secoua vivement la tête, afin de se sortir de toutes ces pensées néfastes, avant de jeter un regard autour de lui. Le marché était bondé, et les voix des marchands se battaient pour savoir qui criera le plus fort et rapatriera le plus de monde à son étalage. Keraël fronça les sourcils, et se demanda ce que serait ce marché si les commerçants avaient tous une extinction de voix. Après une longue hésitation, le jeune ombre se décida à ne rien faire, et à laisser la journée se dérouler normalement.

Alors qu’il continuait tranquillement sa marche, sans avoir aucun but précis, Keraël remarqua une adoration générale par la gente féminine. Le jeune ombre fut tout d’abord vexé que cette adoration ne lui soit pas destinée, mais avant de s’offenser, il jugea préférable de regarder l’ombre à la base de cette adoration. Ce ne fut pas bien dur de le repérer, il suffisait de suivre les regards charmés des demoiselles.
Keraël découvrit alors un jeune homme, de taille petite. Son visage était finement dessiné, ses traits étaient doux et marqué juste comme il le fallait. Les cheveux d’un châtain sombre du jeune ombre voltigeaient dans tous les sens. Mais ce qui était le plus précieux dans ce visage étaient ces yeux. Keraël ne put détacher son regard de ces yeux d’un or si vif et si brillant. Et ce sourire hautain que portait à ses lèvres le jeune ombre au regard des demoiselles lui allait à ravir.
Keraël se passa la main sur le visage, et laissa échapper un petit ricanement forcé, avant de reprendre sa route. Il tourna alors le dos à l’ombre aux yeux dorés, et ne remarqua donc pas le détour de ce dernier par une sombre ruelle. Insouciant, Keraël se permit une petite halte à une échoppe d’instruments de musique. Il y vit une flûte magnifique, et, admiratif devant la beauté de celle-ci, il ne put s’empêcher de la prendre.


« C’est de l’argent, n’est-ce pas ?
- En effet. Je vois que vous êtes un connaisseur. »

Keraël ne releva pas le compliment. Il s’empara d’une de ses deux clochettes trônant dans ses cheveux. Par un premier tintement, il sortit un fil de Kôto de sa clochette, et l’enroula autour de la flûte. Par un second tintement, il dirigea le son dans le fil, et écouta attentivement le retour de ce son. Un rire hautain s’échappa alors des lèvres de Keraël, et après avoir remis sa clochette dans ses cheveux, il reposa la flûte si belle et qui semblait si précieuse.

« Belle imitation, mais cette flûte ne vaut même pas deux pièces d’argent. »


Sans laisser le temps au commerçant de rétorquer, Keraël tourna les talons, et continua sa marche au milieu des différentes échoppes. Mais peut-être vous demander vous comment le jeune ombre avait réussi à découvrir l’arnaque. C’est bien simple, chaque métal émet un son différent. Mais passons, car voilà un vieillard aveugle qui s’approche doucement de notre jeune ombre.
Keraël ne semblait pas avoir remarqué la présence du vieil ombre, et continuait sa marche, inconscient. Mais soudainement, Keraël se sentit bousculer, et il entendit un étrange son, celui d’un frottement entre du cuir et un métal. Mais le jeune ombre ne réagit pas immédiatement, et il aida le vieil homme à se relever.


« Veuillez me pardonner, messire. La lumière a quitté mes yeux il y a peu et je ne me suis pas encore habitué à cet état…
- Ne vous inquiétez pas, il y a plus de peur que de mal. »


La voix du vieillard semblait emplie d’une sénilité forcée. Mais Keraël n’avait que faire de détails du genre. Il était bien trop perturbé par cet étrange son qu’il avait entendu lors du choc. Qu’était-ce donc ? Il n’avait pas de métal autre que sa flûte sur lui, et ne portait qu’une ceinture en cuir. La vérité apparut violemment aux yeux du jeune ombre, et après vérification, un cri d’effroi retentit dans tout Sanctis. Keraël regarda tout autour de lui : le vieil ombre avait disparut.

« Un déguisement ! Je me suis fait berné par un putain de déguisement ! »


Keraël était prit par une colère bouillonnante, et il dut faire un effort énorme pour se calmer. Il ferma les yeux, et après avoir amplifier son audition, il se concentra sur les moindres sons de la ville. Il lui fallait un son de course rapide.

« Trouvé ! »


Après une courte réflexion et une injure incontrôlée, Keraël comprit que le pas était trop léger et appartenait donc à celui d’un enfant. Le jeune ombre ferma à nouveau les yeux, et tenta de repérer l’enflure qui lui avait dérobé sa flûte. Cette fois-ci, il n’y avait pas de doute : Keraël avait trouvé son voleur à l’arrachée. Il ne lui restait plus qu’à lui mettre la main dessus.
Tout en restant concentré sur ce pas de course, Keraël courut à son tour afin de rejoindre son voleur, et donc sa flûte. Vint alors une longue promenade forcée au travers des ruelles sombres et malfamées de Sanctis, jusqu’à ce qu’il arrive à un petit jardin où l’herbe était merveilleusement verte et semblait incroyablement douce. Ce devait être l’un des rares endroits de Sanctis où seuls quelques ombres s’y promenaient. Le voleur à l’arrachée s’était arrêté dans ce petit coin de paradis pour savourer son crime.


« Héhéhé, trop facile… »


Keraël s’approcha de l’ombre, tout en effaçant le bruit de ses pas, afin d’être sûre de ne pas être repéré. Tant qu’à faire, si il devait récupérer sa flûte, autant le faire avec classe. Et Keraël avait un sacré talent pour la mise en scène. Une fois qu’il se trouvait juste derrière le voleur qui lui tournait le dos, Keraël tapota sur l’épaule de l’ombre, et laissa sa voix combler le silence ambiant.


« Qu’est-ce qui a été trop facile ? »
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Anàrion
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Anàrion



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MessageSujet: Re: Je vole à la barbe des gardes, ça barde quand je chaparde... [PV Keraël]   Je vole à la barbe des gardes, ça barde quand je chaparde... [PV Keraël] Icon_minitimeMer 17 Juin - 21:37

S’il y avait bien une chose à laquelle Anàrion ne s’attendait pas, c’était bien le fait que sa victime dépouillée ne le retrouve en aussi peu de temps. Alors qu’il s’attardait sur l’examen du dur fruit de son labeur, le voleur sentit quelque chose lui tapoter l’épaule et une voix lui demander ce qu’il trouvait de si facile, pour en ricaner tout seul. Anàrion tourna la tête afin de voir qui pouvait bien le déranger à cet instant précis où il jubilait d’avoir encore gagné à son jeu favori et devinez quel visage se trouvait à quelques centimètres du sien ? Celui de l’Ombre aux cheveux grisés !

* Hein ? Comment… *

Le garçon se ressaisit à la seconde suivante et en un mouvement, il virevolta et pointa son bâton en direction de ce qui allait surement devenir son adversaire. Bien évidemment, Anàrion dissimula sa surprise et dans ses yeux, ne brillaient que la lueur hautaine qu’il aimait tant afficher lorsqu’il voyait ses victimes. Un sourire mesquin s’afficha également sur ses lèvres alors que ces dernières bougèrent pour laisser sortir ces mots :

Anàrion • Ce qui a été trop facile ? Et bien je dirais que ça a été de te subtiliser cet objet, sous ton nez et sans que tu ne t’en rendes compte. Honnêtement, je me demande comment tu as pu la conserver aussi longtemps.

Oui, Anàrion avait le don de savoir énerver les gens. C’était une faculté qu’il trouvait fort distrayante et qu’il n’hésitait pas à cultiver, en s’entraînant sur toutes les personnes sur son chemin. Pas en public, bien évidemment… il avait tout de même une image à conserver. Mais un détail le titillait, le voleur désirait savoir par quel moyen ce fichu Ombre était parvenu à le traquer jusqu’à ce carré de verdure, pourtant inconnu de la majeure partie des habitants de cette ville. De sa voix froide et hautaine, le garçon prit de nouveau la parole :

Anàrion • Impressionant. Je dois avouer que je ne m’attendais pas à ce que tu me retrouves et pourtant, tu n’as pas l’air d’un enfant des rues et cet endroit devrait t’être inconnu alors dis-moi, comment as-tu su où je me trouvais ?

N’allez surtout pas imaginer que parce qu’Anàrion était en train de faire la causette avec l’adolescent qui se tenait devant lui, que celui-ci avait baissé sa garde. Ce serait une grossière erreur en plus de sous-estimer le voleur. Ce dernier, bien qu’en apparence tout à fait décontracté et détendu, se tenait près à bouger au moindre mouvement suspect du garçon aux clochettes. Anàrion avait laissé tomber sa cape, qui le gênerait plus qu’autre chose dans les moments où son agilité et sa rapidité seraient mise à l’épreuve. Mais il fallait tout de même préciser que même si Anàrion se révélait doué au maniement du bâton, celui-ci n’avait jamais vraiment mis en pratique son don lors d’un véritable combat alors il ne savait pas ce que ses leçons donneraient en pratique réelle.

Anàrion • Si tu crois que je vais te redonner ton instrument aussi facilement, tu te mets le doigt dans l’œil ! Tu l’as perdu parce que tu n’y faisais pas attention, logiquement elle me revient de droit puisque j’ai réussi à te la prendre…
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